(tel que prononcé au conseil municipal)
Je reviendrai sur cette
convention dans le cadre du débat sur la délégation de service public, dont
elle est la condition sine qua non.
J'ajoute que - comme
d'habitude - le maire a entouré cette convention de mystères en me refusant
l'accès au dossier : s'il veut prendre un risque, c'est son droit, mais c'est l'argent des Bellifontains.
Demande et réponse :
Je n'ai donc pas eu droit aux
correspondances échangées avec l'Etat :
y aurait-il eu des
tractations défavorables à la Ville ?
Ma première question porte
sur la clause recettes, c'est-à-dire la part variable
liée à l'exploitation du site.
Je cite :
Premièrement, cette clause
vient modifier l'équilibre économique du contrat de délégation, puisqu'elle met
une dépense à la charge de la Ville, non compensée par le délégataire, de plus
de 36.000 €, et en plus on donnera la moitié des bénéfices. Sur le terrain qui
rapportera le plus à la délégation : c'est ruineux.
Deuxièmement, le mode de
répartition des recettes provenant des places situées dans la partie appartenant
à la Ville et dans la partie appartenant à l'Etat, n'a pas été précisé. Les
places éloignées rapportent-elles autant que les places les plus proches ?
Je reviendrai sur la question
de la durée, trop courte hélas, dans le cadre de l'étude de la DSP.
Je me permets d'ajouter qu'il
conviendrait enfin de se décider, en concertation avec l'Etat, d'avoir un
projet d'ensemble sur le site de Boufflers, plutôt que de poursuivre une
situation précaire.
En 7 ans, il faut souligner que la majorité n'a pas pris ses
responsabilités.