Cette modification statutaire vise à assurer la tutelle de la ville sur l'ARCIF. L'ARCIF, jusqu'à présent, tout en se coordonnant avec la Ville, disposait d'un caractère autonome. Le fait que la Loi donne compétence à la Ville pour créer un jumelage ne justifie pas l'atteinte à la liberté d'association.
J'ajoute que contrairement à ce qui a été indiqué cette modification ne fait pas l'unanimité car elle a entraîné la démission de la moitié du Conseil d'administration. Je passe donc sur l'épisode lamentable et les pressions reçues par les membres, dont je possède, désolée de le dire, non seulement la relation, mais encore les courriels échangés par la Ville et qui bien sûr, ont fait l'objet d'un refus de communication de la part de la majorité actuelle.
La méthode choisit me paraît donc inacceptable et contraire à l'intérêt bien compris des membres : j'avais suggéré de recourir à une convention cadre plus souple, permettant une transparence des rapports plutôt qu'une main-mise. Ma proposition n'a pas été écoutée, chacun prendra ses responsabilités.
Je voterai donc contre.